OMG

Voilà que erog ne permet plus aux blogs non-prémiums de se débarasser de ces pubs dégueulaces lorsqu'ils sont actifs.

Me voilà confrontée à ce que j'execre: la publicitée forcée.

Je vais donc réfléchir à une migration...

Des conseils???

Vous oubliez le bonjour, les majuscules quand vous me nommez, vous oubliez le vouvoiement, la courtoisie, votre place, mon rang…

Attention à vous : mon chéri m’a trouvé un nouveau joujou que je vais décorer mais qui déjà, fait sacrément mal !!! Comme j’ai hâtttttttttttttte de le tester sur les larves les plus récalcitrantes! Et vous le savez, vous êtes nombreux à rejoindre cette catégorie… :D

Introduction :

Ce week-end, je l'attendais depuis longtemps, depuis le jour ou Vous me l’aviez annoncé, c'était il y 2 mois, le 12 décembre. Ce week-end on l'avait préparé, hôtel, billet de train et achat de costume, pour devenir une vrai petite ânesse et Vous avec des bas et gants en latex (d'ailleurs je ne commanderai plus rien chez démonia, c'est vraiment pas solide). J'appréhendai ce week-end et j'avais hâte de Vous rencontrer Divine Maîtresse. J'avais pris toutes mes petites affaires un peu sm (sacs, gode, tenue en vinyle et évidemment mon costume d'âne). J'avais également pris rendez-Vous chez une esthéticienne pour me faire épiler intégralement, pour Vous faire la surprise. Je suis allé mardi dernier, le soir ou je Vous avais dit que je n'étais pas disponible, en fait c'était pour aller au rendez-Vous. C'était la première fois que je me faisais épilé à la cire. J'avoue que c'était un peu douloureux surtout au début car elle s'est attaquée à mes parties intimes celles que je rasais régulièrement, là ça faisait mal. J'ai passé deux heures à être épilé et tout y est passé, malheureusement tout. Au début de la séance, j'avais dit à l'esthéticienne que je m'occuperai moi-même des tétons mais sur le feu de l'action elle a tout fait. Je n'avais sans doute pas été assez clair. Je l'ai payé par la suite. Après l'épilation du mardi, j'étais content et heureux de Vous faire une belle surprise. Il me fallait des chocolats pour me racheter de ceux pour noel, j'ai choisi des ferrero rocher dont je savais que Vous appréciez le goût et des chocolats suisse de camille bloch. Au moins là je ne pouvais pas trop me tromper. La semaine est vite passée et mon excitation augmentait. J'ai préparé mon sac la veille, j'avais déjà mis de côté un peu tout ce que je voulais emporté. Je voulais ne rien oublier et être une parfaite petite ânesse.

Le jour j

Le vendredi matin, je me suis levé tôt, (en fait pas plus tôt que d'habitude) et suis parti sous la neige (comme tous les jours depuis deux semaines). Le voyage a débuté de chez moi à Besançon ou je comptais Vous écrire mais c'est Vous qui m’avez envoyé le premier message, Vous m'aviez donné Votre numéro la veille. C’était un pas de plus vers Vous, ce numéro et j'ai été heureux de l'enregistrer sous le pseudo Déesse Ava brown. Huit heures de train plus tard je suis enfin arrivé à Bruxelles, Vous m'aviez prévenu quelque temps avant que finalement Vous ne pourriez venir me retrouver à la gare à mon arrivée comme Vous me l'aviez laissé espérer, je Vous avoue, j'étais un peu déçu car j'espérai Vous voir au plus vite mais bon il est vrai que j'arrivai tôt. J'ai donc rejoint mon hôtel vers 16h30. Après avoir pris une douche et déballé mes affaires je suis sorti, j'avais quartier libre jusqu'à 21h00 ou Vous alliez me retrouver à l'hôtel. J'attendais avec impatience. Je suis allé au centre ville vers 18h00, manger un peu (je n'avais pas mangé à midi) et j'ai visité un petit peu, sous la neige que j'avais quitté et que je retrouvais ici, j'avais froid. Depuis que je me suis épilé je ressens d'avantage le froid je trouve, mais bon ça doit être une question d'habitude. Bref j'ai pu visiter un peu et je suis rentré à mon hôtel vers 20h30 avant Votre arrivée. Et j'ai attendu dès lors sagement. J'avais reçu aussi la consigne de trouver une canette d'oasis, malheureusement il n'y en avait pas à l'hôtel alors j'ai dû me contenter d'un jus d'orange moins bon, j'en suis désolé.

La rencontre Finalement le message tombe à 22h09 "habille-toi et viens me rejoindre en bas avec ton collier". Je m'habillais à la hâte et Vous rejoignis dehors, je ne Vous avais pas aperçu et Vous m’avez appelé à Vous.

Vous étiez belle et très speed et avez pris tout de suite les choses en main, moi j'étais ému et impressionné sans trop de réactions.

Je Vous ai fait le baise main règlementaire que Vous aviez pris soin de m’apprendre la veille. C’était la première fois que je me mettais à genou en pleine rue, mais bon il n’y avait personne et de toute façon je m’en moquais, j’étais face à ma Déesse.

Vous m’avez confié Votre mallette et nous avons rejoins ma chambre.

Vous vous êtes assise naturellement sur le grand lit et moi à genou, nu avec ma cage de chasteté que je portais depuis le matin et mon collier sur lequel Vous avez fixé une laisse, ma laisse, j’étais enfin à Vous et j’étais heureux.

Mon premier devoir fut de nettoyer avec soin Vos bottes avec lesquelles Vous aviez foulé le sol toute la journée. Je léchais toutes les parties de la botte, Vous inspectiez régulièrement et me faisait refaire certaines zones pour que ça soit impeccable. Je prenais plaisir à le faire et j’adorai de temps en temps frotter mon visage sur ces bottes avec tendresse. Vous avez rapidement compliqué la tâche en me ligotant les mains dans le dos, mais je poursuivais pour Vous satisfaire, en me contorsionnant. Vous me facilitiez souvent la tache en frottant directement Votre botte sur ma langue pendue. Ce fut assez long mais le résultat était au rendez Vous.

Qu’il était agréable d’être à Vos bottes de les sentir et les nettoyer avec soin.

Ensuite je Vous ai déchaussé et sur le dos, j’ai respiré Votre odeur, Vous avez posé Vos deux pieds sur ma tête et Vos chaussettes me recouvraient le nez, l’odeur était forte, intense mais c’était la Votre Déesse et c’était merveilleux d’être ainsi à Votre merci ou plutôt à la merci de Vos pieds.

Vous m’avez très rapidement scotché la bouche à l’aide d’un joli ruban adhésif rose, afin que ma respiration ne passe qu’à travers Vos chaussettes et Vos pieds. Vous pouviez m’étouffer comme Vous vouliez et Vous jouiez avec Vos pieds sur mon visage et mon corps en le piétinant.

Ce fut d’agréables moments mais il y en eut également de plus douloureux, mes tétons s’en rappellent encore. Effectivement mes tétons étaient épilés et Vous vous en êtes tout de suite aperçu, je Vous ai privé du plaisir de les épiler Vous-même alors ils ont dû subir Votre colère. Vous m’avez mis des pinces qui m’ont fait très mal mais c’était mérité. Vos ongles ont parcouru également mon corps et m’ont laissé de belles marques sur le dos.

Puis pour Vous détendre, la soirée s’est finie par un petit massage du dos.

Il était presque 01h00 lorsque je Vous ai raccompagné après quelques heures merveilleuses passées auprès de Vous.

Ce soir là Vous ne m’avez pas libéré et j’ai passé une nouvelle nuit encagée mais en faisant de merveilleux rêves et en me réjouissant de Vous revoir le lendemain.

Samedi :

Après une bonne nuit de sommeil, ma première tâche fut de retrouver un bouton de Votre manteau que Vous aviez perdu la veille, après quelques minutes de recherches je tombai enfin sur ce bouton. J’étais content de Vous faire plaisir. J’ai été ensuite acheté une bouteille d’oasis qui avait manqué la veille, je voulais que pour ce deuxième jour tout soit parfait.

Après cette petite course matinale, il devait être 10h30, je revins dans ma chambre pour faire mes abdos comme Vous l’aviez exigé. Et après ma deuxième douche de la journée je suis reparti au centre ville pour déjeuner, je pensais alors Vous revoir en début d’après-midi.

J’ai parcouru le centre ville, cette fois de jour et vers 14h00 j’ai reçu de nouvelles instructions et j’ai compris également que je ne Vous verrai qu’un peu plus tard. J’ai trouvé tout ce que Vous m’aviez demandé, non sans mal pour le vin mousseux. Puis je suis allé repérer le lieu de la soirée.

Après avoir marché toute la journée je suis rentré vers 17h00 à mon hôtel pour prendre une nouvelle douche, puis j’ai attendu. Cette attente m’a paru interminable, j’avais mon téléphone toujours sur moi guettant le moindre de Vos messages, mais chacun de Vos messages repoussait encore le moment de notre rencontre. Je n’avais plus trop envie de ressortir alors j’ai simplement attendu dans ma chambre et enfin le message de Votre arrivée imminente est tombée, il était 22h00.

Je me suis mis nu avec mon collier et j’ai entrouvert la porte puis je me suis mis à genou. Et peu de temps après Vous êtes entré avec Votre ami. J’appréhendai sa venu, et eu un peu peur au début quand après Vous avoir embrassé les pieds Vous m’avez demandé de faire de même avec lui. Je me suis exécuté mais me soumettre à un homme est compliqué pour moi, étant gynarchiste et considérant uniquement la Femme comme m’étant supérieure. Mais mes craintes ont été vite dissipées, la Maîtresse c’était Vous. De toute façon je ne pouvais que Vous obéir.

Après quelques verres de mousseux et après avoir revêtu Vos très beaux bas en latex, nous sommes partis pour la soirée, la fétish party sur une péniche.

Sur place j’ai rapidement enfilé ma petite tenue d’ânesse, une combinaison gris en Zentai très moulante, très serrée, pas très chaude, sur laquelle Vous veniez de coudre ma petite queue qui a eu son petit effet toute la soirée. Je me sentais un peu ridicule dans cette tenue au début, je ressemblai plus un télé-tubbies comme Vous l’aviez dit. Mais j’étais ce que Vous souhaitiez et c’était l’essentiel. J’ai très vite remarqué d’ailleurs que parmi les participants à la soirée, j’étais le seul recouvert de zentai, tout le monde était en cuir ou en latex ou simplement habillé en noir.

Si au tout début j’étais un peu mal à l’aise surtout quand j’ai dû parcourir la salle seul pour aller chercher des verres, très vite je me suis senti bien à ma place, d’autant que ma position auprès de Vous ne faisait aucun doute. Tenu en laisse, ou à Vos pieds. J’étais Votre petite ânesse et j’en étais

fière. Et les fois suivantes ou je me suis retrouvé seul pour aller chercher des verres, j’étais beaucoup plus à l’aise et j’ai eu plusieurs compliments de Femmes sur ma queue et sur mon petit cul aussi et à chaque fois je m’empressais de dire qu’il fallait complimenter ma Déesse qui avait si joliment cousu cette petite queue.

Durant la soirée, la plupart du temps j’étais à quatre pattes et je ne distinguais finalement que peu de choses à part les pieds des autres participants.

Si au départ Vous m’emmeniez avec Vous dehors fumer des clopes, à la fin Vous me laissiez plutôt au chaud. J’avais effectivement très froid dans cette tenue, bien que Vous ayez tout fait pour me réchauffer en me donnant des petits coups de cravache ou en Vous asseyant sur mon dos, rien n’y faisait j’étais congelé. Alors dans Votre bonté Vous m’ordonniez de rester en position, dans la salle lorsque Vous sortiez dehors avec Votre chéri. Vous avez bien pris soin de moi Déesse et je Vous en suis très reconnaissant. Votre chéri a été également très gentil avec moi en m’autorisant des cigarettes ou de boire un verre toujours évidemment avec Votre accord. Je l’ai trouvé très sympathique.

Durant Votre absence, j’ai parfois été gardé par l’une de Vos amies qui se servait de moi pour reposer ses pieds et qui avait d’ailleurs des talons très piquant, ou la plupart du temps j’étais seul. Et tout ce temps je restais à genou immobile, m’autorisant parfois à tourner la tête et distinguer quelques paires de pieds, mais restant la plupart du temps à fixer le sol. C’était mon rôle, je n’avais pas à parler, à bouger, j’étais un petit animal qui attendait le retour de sa Maîtresse. Durant ces moments sans rien voir j’ai senti parfois des mains qui m’ont caressé le dos et j’ai entendu des commentaires de Femmes « depuis combien de temps est-il comme ça sans bouger,…- sa Maîtresse a dû lui demander de rester comme et il lui obéit.. »

Ces commentaires sans savoir de qui ils provenaient, me faisaient plaisir car oui j’obéissais à ma Maîtresse et j’en étais fière.

Et j’ai entendu Votre remarque lorsque Vous êtes revenu d’une cigarette et que Votre ami Vous précédiez, Vous lui avez demandé si j’avais bougé et il a répondu non. Non Déesse je n’aurai pas bougé d’un poil et comme Vous me l’avez souvent répété je suis à Vous et je dois Vous demander l’autorisation pour tout ; y compris pour aller aux toilettes d’ailleurs.

J’ai eu envie d’y aller et je me suis retenue sans doute plus d’une heure avant de Vous demander. Ce n’était pas par timidité mais à ce moment là Vous étiez dans un moment de détente en Vous faisant masser les pieds par un autre soumis et je ne voulais pas Vous déranger. J’ai attendu simplement qu’il soit parti.

Nous avons quitté la soirée à 06h00 pour regagner l’hôtel et profiter de se reposer un peu. Avant de se coucher toujours selon Vos instructions je Vous ai massé les pieds, et j’ai pu les embrasser, qu’il est bon d’être à Vos pieds Déesse…, puis j’ai passé la nuit dans le lit avec Vous deux à vos pieds et tenu en laisse. J’étais bien, tout au bout du lit, au chaud, avec Vos pieds plaqués sur mon visage. Je suis conscient que Vous m’avez fait un grand honneur cette nuit là en me permettant de dormir au plus près de Vous.

Dimanche :

J’ai dû dormir deux heures, mais j’étais bien, à ma place et j’étais heureux de me retrouver le lendemain toujours tenu au bout de la laisse.

Je me suis levé tôt et avec Votre autorisation j’ai pu aller déjeuner, j’étais affamé je n’avais rien mangé depuis la veille à 12h00.

J’ai pu rapporter dans la chambre quelques croissants et une petite coupe de fruit, je me voyais mal profiter du petit déjeuner sans que Vous en ayez eu un peu.

Après Votre réveil, Vous m’avez fait sucé un énorme gode, heureusement que je ne l’ai pas eu dans le cul, il m’aurait fait hurler. Puis Vous avez testé mon sac en latex qui me rend totalement vulnérable, Vous en avez profité pour me cravacher un peu et me piétiner avec Vos bottes. Il était déjà fort tard, et lorsque Vous m’avez demandé de me vider je n’ai pas pu. Le stress du départ je devais rendre la chambre pour midi et le blocage de me masturber en public ont sans doute fait que je n’ai pas beaucoup insisté. Je le regrette Déesse, c’était Votre dernier ordre et je ne l’ai pas exécuté, je m’en veux, j’aurai certainement mis beaucoup de temps mais j’y serai arrivé.

Après un dernier baise-main à la gare et à genou, j’ai pris mon train pour rejoindre Bruxelles centrale.

Ce matin là je n’ai pas été d’une humeur très agréable et je le regrette, même s’il y avait le stress du départ, il y avait surtout la tristesse de Vous quitter sachant que je n’allais pas Vous revoir avant longtemps.

Arrivé à Bruxelles centrale, j’ai reçu Votre message très gentil, me disant que j’avais été un très bon serviteur, je Vous ai répondu et en Vous répondant j’avais les larmes aux yeux, c’est un peu stupide je sais, mais je suis une petite ânesse un peu sensible.

Je suis ravi de Vous avoir rencontré tous les deux, et de Vous avoir servi Déesse. Je n’oublierai jamais ces moments et j’espère qu’ils se reproduiront en Belgique ou peut-être en Suisse si Vous souhaitez passer un week- end avec Votre Chéri chez moi.