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Samedi 22 septembre 6 22 /09 /Sep 13:57

… Et il croyait m’avoir… Il y en a eu pas mal dans le genre qui se sont révélés être de vils quémandeurs qui croyaient tout pouvoir se payer avec leur misérable fric… Il n’y a pas d’autre terme, pas d‘autre mot. Pas méchant, pas trop stupide mais au fond, tellement con ! Ce vieux cuisinier de métier, grassouillet à souhait, m’avait dans un premier temps ennuyé avec ses envois de mails, textos et candidature qui écorchaient ma vue et toutes les règles qui ont constitué  « le Français ». Pourtant, il démontrait de la volonté malgré ses lacunes qui me donnaient un avant-goût de moqueries linguistiques… Et il n’était pas prétentieux, il avait juste l’air un peu paumé depuis sa dernière Maîtresse attitrée, et ne demandait qu’à servir et obéir. J’avais envie de rire de lui, de ses niaiseries et de ses minables écrits, et avec mes Pieds fatigués, sur un coup de tête je décidai donc de le convoquer.

 

Mais lorsque je l’ai eu entre les doigts, il tenta de me glisser de sa petite voix fluette une absolue aberration. C’est à ce moment-là qu’il se dévoila, poussé dans ses retranchements, que son ego pourri et avide de consommateur se révéla.

 

« Comment ça tu « voudrais » me lécher ?? Et d’autant plus mon intimité ??? Non mais t’as vu ta gueule en plus ! Je crois rêver là !»

 

Alors qu’il me massait mes petons fatigués, ce fut mon esprit qui le devint inévitablement face aux mots que déglutissait ce gros porc. Ses petites mains et doigts boudinés se crispèrent dans un sursaut quand il fut frappé par un coup de cravache sur une bonne partie du haut de son bras gauche. Ses yeux eux aussi s’écarquillèrent en un coup.

 

« Comment ça tu « attendais » quelque chose de « différent » pour cette « séance » ?

Je dirige mes séances selon MES ENVIES. J’ai toujours été bien claire là-dessus. Tu n’as rien à attendre de Moi. Tu es venu pour obéir et me servir, je te mets devant les faits, alors oublie vite tes « envies » car Moi, je m’en contrefiche, tu es là pour assouvir les miennes! »

 

Il était encore tétanisé par mes phrases et mon ton exaspéré mais bien ferme. Ce n’était pas ma cravache qui lui faisait peur… Mais le fait que je lui sois insaisissable et la distance inévitable que je creusais impitoyablement entre lui et Moi. J’en profitais pour lever mes Pieds jusqu’à sa tronche bouffie, et lui infligeai deux magistrales claques sur ses joues habituellement rosées, devenues écarlates. Sa petite boîte crânienne (à moitié dégarnie et dissimulée faiblement par ses quelques cheveux mi-longs, fins et gris qui lui restaient) fut alors secouée de part en part, de Pied en Pied ! Comme foudroyé, il en ouvrit la bouche, resta béat et immobile un moment, jusqu’à ce qu’il en oublie à nouveau mes Règles…

 

« Pourquoi as-tu levé les yeux ?!! »

 

Ma voix claqua dans l’air comme le son de la cravache que j’avais fait claquer sur sa peau à sa première erreur, et il reçut un nouveau coup qui lui fit instantanément baisser son désormais regard de cocker et reprendre sa tâche manuelle. Et pourtant, il essaya de nouveau…

 

« HA ! C’est pour « mon bien » ?? « Uniquement pour mon plaisir » tu me dis ??? Eh bien là en fait, tu me le coupes mon plaisir… J’aurai pu oublier ta disgrâce si tu m’avais bien massée, de manière studieuse et sans un mot ! Sans une sottise de la sorte ! Je suis la seule ici ou ailleurs à savoir ce que je veux, quels sont mes désirs et ce qui pourrait me faire plaisir ! Ni toi ni personne n’en est capable, je suis la seule et unique à les connaître et donc à pouvoir les énoncer ! »

 

Ma main droite avait déposé la cravache sur le canapé et commençait à s’exprimer en appuyant mes paroles avec des gestes vifs. Mais les mouvements rapides de ma main le faisaient surtout se concentrer sur le bout de mes doigts qui arboraient des longs et durs ongles recouverts d’un rouge vermeil. Je repris son attention d'une magnifique gifle délivrée par celle qu’il était en train de tant admirer.

 

« Il me semble avoir été on ne peut plus limpide sur ce qui t’attendait et ce que j’attendais. Je suis une totale gynarchiste qui n’a que faire de tes envies primaires et sexuelles. Tu es venu pour me servir, me divertir ! En aucun cas pour : m’ennuyer avec tes exigence inconvenantes, me lécher le sexe ou te faire branler autant physiquement qu’intellectuellement… Si tant est qu’en fait, il y ait intellect. Tu ne te feras pas mousser par moi, bien au contraire. Je te rappelle que tu es là pour Moi et non l’inverse…»

 

«  Mais… ? Mais… Mais ??? » - Cet abruti insista.

 

« Tu pensais « au moins pouvoir m’honorer avec ta langue ? » Ta langue de clebard répugnante sur ma douce et Divine Féminité ? Quelle infamie dis plutôt! En quel honneur JE te ferais ce privilège ? En plus, tu oses me couper la parole pour me dire cela ?!? (une nouvelle gifle retentit sur sa joue gauche) ET tu quémandes l’accès à mon intimité ? (sur sa joue droite claqua le revers de ma main) Va-y, fais moi rire bouffon, dis moi donc en quel « honneur » tu aurais droit à cela ? Et LÀ tu peux t’exprimer grosse larve ! 

 

        - …eh bien vous savez la vie est rude, et l’offrande que je vous ai fait est un sacrifice pour moi…

 

- Mais c’est le but ! Pour avoir l’occasion de me servir, il faut bien accepter d’en payer le prix : autant physiquement, mentalement que financièrement. Et je fais bien en voyant le genre d’énergumène que tu es. Physiquement je ne peux pas bien m’amuser avec toi, tu es un vieux jouet cassé et repoussant. Mentalement tu te révèles bien plus pitoyable que (forcément) ce que tu voulais me faire croire. Encore heureux qu’il me reste ton fric pour compenser la perte de temps que tu m’occasionnes ! Et moi alors ? Je t’ai bien sacrifié du temps grosse merde !!! C’est presque comme si tu pensais l’avoir mérité… ou encore pire, que ton fric le mérite ! Ni toi ni ton fric ne me méritez ou ne pourrez m’acheter. Tu n’as donc rien compris à l’affaire, ou tout simplement à qui tu t’es adressé !!  Alors je te le répète, tout comme je l’ai écrit et TE l’ai écrit : je dirige toujours mes séances de a à z uniquement selon MES envies ; j’ai toujours été claire là-dessus ne va pas dire le contraire, relis mes mails! Seulement là tu vas encore plus loin, ton envie va vers mon sexe !? Ce Saint Graal ne s’ouvre sûrement pas à coup de billets, je ne suis ni une prestataire, ni une pute ! Non mais je crois vraiment rêver !! »

 

 

Je me redressai d’un coup sur ce fichu canapé dans lequel je commençais à m’enfoncer… Maintenant bien droite, brandissant ma vivacité, ma fraîcheur et ma féminité, je lui énumérais alors ses nombreuses bêtises et commençai à jouer de mon index acéré tout près de son petit nez en trompette, comme prêt à le réduire en charpie en quelques coups de doigts agiles. Il ne disait plus rien, restait stoïque.

 

« En fait, tu m’as pris pour une pute, c’est ça ? » lui redemandais-je en prenant un air stupide mais reprenant très vite un air plus grave. « Il y a donc là un gros quiproquo… Car je vais te repréciser quelque chose: sache que c’est toi la pute de cette histoire. Et stupide comme tu es, tu n’as apparemment que peu compris la situation. Tout comme une bonne prostituée, tu t’occupes de MOI, selon MES directives. Tu ne rechignes pas, tu ne fais pas la fière et tu t’écrases !!! Tu baisses les yeux et la seule fois où tu auras le droit d’ouvrir ta sale gueule, ça sera pour me pomper le dard  sans broncher, goulûment et en douceur ! Tout comme une bonne pute, tu te la fermes et tu réponds à mes envies, et comme j’ai la gentillesse de me pencher sur ton misérable cas et t’apporter la possibilité de me subir et progresser dans ta misérable vie, le fric que tu as tant de mal à lâcher m’aura au moins apporté la satisfaction de te savoir si mal à l’idée de t’en séparer et d’autant plus pour une Déesse qui te méprise désormais totalement pour ce que tu es actuellement. Et s’il le faut encore, je te remettrai les points sur les i, mais si tu m’agaces de trop, c’est comme un moins que rien que je te jetterai, sans sourciller. Des merdes dans ton genre j’en ai à foison et m’en passe aisément. Je t’avais bien dis de mettre ton ego au placard, tu ne l’y as pas laissé avec tes petites exigences, je vais donc bien m’amuser à le froisser, et ainsi le faire payer pour sa stupidité, le faire payer pour le « dérangement »… »

 

Mes longs et fins doigts de la main droite s’étaient alors déployés lentement autour de sa gorge de gros lard, les ongles s’enfonçaient dans son gras. Il commençait à frémir.

 

« …Tout comme une bonne pute, tu vas cracher ton fric à ton supérieur (en l’occurrence Moi) et tu te laisseras baiser, bien passivement, bien docilement, et satisfera l’ascendant naturel que j’ai sur ta minable et insipide personne. Tu me serviras de défouloir si tu ne sais être utile à autre chose. Et surtout, tu porteras alors très bien ce petit nom « d’enculé », car oui tu seras ma pute, mon enculé de service. Et je maltraiterai autant ton cul que cet autre cul-de-poule qui est sensé te faire office de cerveau. »

 

Après lui avoir bien agrippé et compressé la gorge, je le relâchai d’un coup sec et il bascula en arrière. Je tirai sur la laisse afin qu’il se replace, puis se déplace avec mes mouvements de jambes et de bras qui me plaçaient tout en travers du canapé et lui, toujours très près de mes extrémités pédestres. Grâce aux accoudoirs, mes jambes étaient surélevées dans une parfaite position qui se terminait avec mes Pieds piles au niveau d’une tête de larbin pour un léchage de Pieds en règle !

 

« Alors toi qui voulais/espérais me lécher lors de cette séance, et bien je vais te satisfaire mon con, mais maintenant si tu dois ouvrir ta gueule, c’est uniquement pour me lécher mes Pieds ! Tu n’auras accès à rien d’autre !!! Allez va y baltringue montre moi comment tu crois savoir et pouvoir donner du plaisir avec ta ridicule et minuscule langue ! Va-y et applique-toi si tu ne veux pas que je te renvoie! Lèche-moi bien tous mes Pieds et tous mes orteils !!! »

 

Pendant qu’il croyait obtenir une victoire, j’avais mon plan en tête dès l’instant où il quémanda de me lécher. Je lui avais bien dis en plus, que je froisserai son ego avec jubilation et sadisme… 

 

Il me léchait ardemment, et je tenais avec force la laisse afin de toujours bien lui plaquer son visage près de mes Pieds. Il essayait toujours de dériver et descendre plus bas, avec sa sale gueule ou ses vilaines pattes de pervers, mais je le maintenais fermement et ne manquais pas de lui faire comprendre ses erreurs à coup de cravache. Il devenait à force, plus docile et moins fauteur. Je déposais ma cravache…

 

J’essayais de garder mon sérieux mais je rigolais intérieurement depuis déjà un moment. Je savais exactement ce qui allait se passer, et lui évidemment, ne voyait rien venir… C’était tellement gros pour Moi, qu’est-ce que j’en riais ha ha ! Tellement qu’il me demanda s’il me chatouillait! Non, il ne me chatouillait pas, mais je me moquais de lui à n’en plus finir…

 

« J’ai dis : pas un mot ! … »

 

Mes Pieds se relaxaient malgré tout, malgré la laideur de son corps et de son esprit, malgré mon dégoût et mon mépris, malgré tout, je m’émoustillais de la future trempe qu’il allait se manger de ma part en pleine poire…

 

Il mit un moment avant de m’entendre gémir et comprendre que je me touchais. Mais je pense que jamais il n’arrivera à excepter et comprendre aussi que je ne gémissais sûrement pas grâce à ses pathétiques coups de langues, mais parce que je m’excitais et jouissais avant tout de cette situation que j’étais en train de mettre en place. Le summum bien sûr, avec le travail de mes doigts agiles sur mon clitoris !

 

Plus il réalisait que je me touchais, plus il voulait et essayait d'aller de nouveau vers mon Paradis. Mais c’était peine perdue, je le maintenais toujours plus rudement, lui donnant toujours moins de liberté de mouvement, pendant que j’accélérais ceux des doigts de ma main droite. Il gigotait, je tirais la laisse et l’écrasais avec mes Pieds et Jambes… Il gigotait, j’accélérais encore et encore pendant que je le bloquais encore et toujours plus avec mes Pieds ; tout cela jusqu’à ce que je me sente venir, que je lui enfonce alors mon Pied droit dans sa gueule et ce jusqu’à en noyer sa glotte de mes orteils. Les coups de laisse tirant sa gorge et mon Pied qui violait sa voie buccale m’excitaient terriblement! C’est une situation qui m’émoustille toujours particulièrement, et immanquablement, je me fis jouir. Je jubilais et jouissais tour à tour, physiquement, cérébralement… Je le mettais encore et encore face à son impuissance, c‘était si facile, mais il l’avait trop cherché… Ceux qui se sont frottés à moi, on eu l’occasion de goûter à mon piquant. Et quand je dis qu’on ne se fout pas de Moi, ce n’est pas pour rien n’est-ce pas « mierda lorenza » comme les autres ? ;)

 

Maintenant que je m’étais bien marré à l’utiliser et à le mettre à l’écart total de ma jouissance, j’allais toujours plus l’accroître celle-ce en lui imposant de dégager sur le champ.

 

Il devait se sentir objet, utilisé, usé, jeté… Il fut sidéré et déconcerté. Il voulait jouer les frustrés devant Moi ? Et bien là je lui en avais gracieusement donné de la frustration ! Quelle généreuse je suis, oh oui que de frustration ! A foison, et avec passion ! ^^

Il me remercia pour la séance par texto, mais m’expliquait que « ça lui avait fait trop mal de ne pas avoir pu me lécher » et que si je l’accepte à nouveau, il demandait à pouvoir « au moins s’enivrer de mon odeur »… Je lui avais fait mal le  pauvre choupinet… 

 

Après une séance de la sorte, et de telles explications pour finir par lire de telles sottises, je me dis bien que c’est définitif ; c’est purement et bonnement un gros con ! Que je n’ai rien à espérer de lui, car il ne vaut rien, et le mieux qu’il vaille, c’est simplement son fric, qu'il considère de toute façon beaucoup trop et s’y attache comme son dernier et ultime « pouvoir »… Mais comme tu es pauvre mon petit… Et je ne parle pas de l’estimation de ton compte en banque abruti!

 

Jusque-là je m’amusais et continuais à lui répondre niaisement et ironiquement. Toujours aussi stupide, sa crétinerie me faisait piquer des crises de fous-rires délirantes en lisant ses déboires, jusqu’à ce que j’en sois finalement plus que lassée.

 

Comme il est con ce vieux bougre. Et comme il en crève de n’avoir jamais rien eu de Moi… Et comme j’en jubilais à chaque maux exprimés maladivement par cet analpha-bête !

 

Mais comme je l’ai bien dit, je me suis vite lassée de cette imposture de mec, et cette imposture de soumis. Je lui ai enlevé tout espoir de pouvoir un jour me revoir et depuis il m’insulte et me menace (mdr). Réponse typique et prévisible de votre éternelle impuissance… Alors oui je préfère en rire, et je vais continuer à bien m’esclaffer!

 

Son impuissance face à mon intelligence, ma vivacité, ma jeunesse, ma force et ma beauté, l’a blessé au plus profond de son ego froissé et meutri désormais au plus haut point. Ça lui faisait terriblement mal de voire que malgré mon jeune âge, je pouvais aisément me refuser à lui, cracher sur son fric et le mettre face à lui-même, face à son reflet peu ragoûtant, bien loin d’être attractif, à l’opposé du mien… Mais encore pire, qu’il comprenne que j’étais totalement libre de jouir de mes envies et désirs, alors que lui, même avec son fric, ne pourrait jamais être satisfait auprès de moi, et ne recevrait jamais que ce que je décide de lui accorder et rien d’autre. Impuissance totale, frustration maximâle…

 

Comprenez donc que je ris bien lorsque je ressens et lis votre agressivité, qui n’est que le fruit de vos blessures, de vos frustrations et de votre impuissance. Comprenez qu’en plus d’en rire, je m’en délecte subtilement, sadiquement J

 

 

Donc à toi, alexandre le petit gros, alexandre sale « oizo », comme aux autres jaloux/frustrés que la vie ne nous épargne pas mais nous offre généreusement, je te le dis encore très clairement: ton adresse mail sera bloquée, et tes emails exprimant ton infériorité finiront désormais dans la catégorie qui définit très bien autant tes envois que ta personne ou ton physique : INDESIRABLE !

 

 

Adios pobres muchachos !

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