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Humeurs

Samedi 26 janvier 6 26 /01 /Jan 18:30

 

A l’occasion de cet « événement », j’ai organisé un petit concours photo sur le thème évident de Noël. Une séance cam en ma compagnie était proposée comme récompense au gagnant.

 

Pourquoi n’ai-je pas publié cet article plus tôt ? Sachant que j’avais diffusé les photos des trois esclaves aux premières places de ce concours sur ma page privé de facebook… Et bien là réponse est simplement que je voulais faire durer le plaisir.

 

« Mais de quel plaisir parlez-vous donc? » me demanderez-vous ! Et bien un plaisir purement pervers et sadique (pour ne pas changer héhé). Je vous explique…

 

 

 

En fait, à l’époque où j’ai pris lorenza sous ma coupe, deux de ses anciennes dominas (deux petites c…) m’ont pris en grippe. Elles devaient avoir l’impression que je les avais dépossédé de quelque chose qu’au final, elles n’ont jamais eu.

 

Lorsque je suis partie d’Aix, j’avais répudié lorenza depuis un moment, et entre temps j’avais eu deux fortes relations D/S avec Maya et ma Lope, qui eurent beaucoup de mal à accepter mon départ et aller de l’avant. Ils ne voulaient/concevaient pas de retrouver une autre Maîtresse que celle qui fut leur Déesse.

 

Ma lope, avait été en contact avec les deux petites c. avant que je la prenne en main. Celles-ci, quand elles ont appris que j’étais partie, se sont dit qu’elles auraient alors le champ libre pour essayer de la détourner de mon chemin. Surement pensaient-elles ainsi me blesser et se venger de leurs pauvres petites frustrations passées! Elles ont essayé de la brancher, mais ce qu’elles ne savaient pas, c’est que j’ai tous les codes facebook de mes bonnes petites chiennes... Donc, j’ai directement vu ce qui se tramait.

 

Au début, j’ai été « cash pistache » comme je dis et suis souvent. J’ai envoyé un message le premier novembre à la première petite c. et je lui ai dit d’aller voir ailleurs, que la propriété était « privée ».  4 Novembre, elle me répond et joue les insolentes sur son mur. D’ailleurs, sur ce post, ce petit con de steeve est allé cliquer comme un gros abrutis qu’il est (forcément il n’avait rien compris, et comme d’habitude à juste voulu faire de la lèche, et après mes demandes d’explications, son ignorance à mon email, et enfin mon mail de répudiation définitive de mon univers, voilà qu’il me répondait : « Vous savez quoi vous me désespérez.. Vous êtes imbus de votre persone » (et je vous évite ses autres diarrhées lexicales)). Je sais que cette parenthèse a été extrêmement longue, mais maintenant vous savez en parti pourquoi je ne veux plus aucun contact avec cette petite merde de fétichiste ingrat qui, pour le plus grand comique de situation, est toujours en contact fb avec lorenza, soit le mec sur qui il a toujours adoré cracher. Quelle belle bande de faux-culs…

 

Donc avec tous ces paramètres, qu’elles jouent… et elles finiront inévitablement entre mes griffes perverses de chatte maléfique MouHahahAhahA (rire diabolique ;). Le jeu commence. J’ai dis à ma lope de faire genre de se laisser soudoyer, de leur faire espérer une possibilité avec elles, de rencontres, de services, d’offrandes... De jouer le jeu à fond, et bien les mener en bateau. Oui oui j’adore devenir une biatch quand on se fiche de Moi ! Et j’assume ! Maintenant, à vous aussi d’assumer vos actes, Moi je n’ai plus aucun scrupule dans ce genre de situations.

 

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Passé sa petite escale dans le sud, une des c. n’avait évidement plus d’intérêt concret à perdre du temps avec ma lope (un peu moins stupide que d'habitude, je tiens à la féliciter!), tandis que la seconde qui habitait désormais à « 45 mn de chez la pute de clebs » s’est fait mijotée pendant plusieurs mois jusqu’à ce qu’elle perde enfin espoir. Hahahahaha, question de fierté surement, mais qui est sous mon emprise même à 1000km de mes Pieds ? Ma lope ! Et vous autres bande de marionnettes que vous êtes. Ma supercherie est maintenant dévoilée. Apprenez que ma distance n’atténue pas ma puissance, et que je peux être la plus gentille comme la pire des pestes. Tout dépend de la personnalité qui se trouvera face à Moi. A bonne entendeur.

 


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(j'ai aussi de quoi rire avec ce genre de commentaire... ^^)

 

 

 

 

 

Voilà donc pourquoi je n’ai pas publié publiquement les photos de ma Lope qui s’est démenée pour me concocter de jolies photos pour mon concours qu'il a finalement gagné! Admirez un peu la dévotion de mes esclaves…

 

 


 

Gagnante du concours : ma Jennifer Lope – Z

 

 

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Seconde place : Ânesse

 

 

 

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(punition pour cette ânerie-insulte à ma langue natale)

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Troisième place: Banane

 

 

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Et hors concours, une photo de ma Larvette en mode "Happy Dark New Year" qui m'a fait assez pouffer de rire!

 

 

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Voilà!!! Et pour ceux qui ne m'auraient pas dans leurs contacts fb, je vous souhaite à tous une bonne année de perversions en tous genres!!!

 

 

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Mardi 23 octobre 2 23 /10 /Oct 20:30

 

Vous avez peut-être vu cette photo, avant qu’elle ne soit (parmi tant d’autres plus ou moins légères) dénoncée par la communauté la plus honnête qui soit : fb ! Là revoici donc pour votre plus grand plaisir… Ou indignation ? Oui, pour vous, soumis comme dominas, qui vous en voyez choqués par ce cliché, qui certes, peut paraître suggestif pour vous, mais pour moi, me remémore un délicieux souvenir de jubilation perverse.

 

 

Un jour, une certaine C. (ancienne « dom » de lorenza, demoiselle à qui j’avais prêté main forte justement auprès de cette raclure afin qu’il lui rende son portefeuille) ayant mal pris le fait que je lui dise que je trouve inconvenu le fait qu’elle demande à lorenza de revenir vers elle, me répondait dans un long discours qu’en gros, elle faisait ce qu’elle voulait. Je n’ai aucun mal à concevoir cela, et n’aurai pas eu à rendre suite si cette petite n’avait pas fini son discours pompeux (à la gloire de son nombril et de son esclave chouchou à demeure qu’elle n’avait plus) par un mensonge qui s’appuyait visiblement sur cette photo qu’elle avait interprété, puis utilisé pour affabuler.

Evidement, quelques minutes à peine après avoir envoyé ma réponse, la photo était signalée et mon compte se faisait bloquer alors que cette photo avait été postée il y a un bon moment déjà. Ce n’était pas la première dénonciation, et j’en apprenais encore sur les limites et rouages de cette vile « communauté », ainsi que sur ces membres qui la composait…

 

 

Je supprimai cette photo, pour la publier plus tard, dans un endroit plus « libre » ou plus « propice » me direz-vous. Mais non seulement de faire le ménage sur cet espace internet, je me posai plus sérieusement la question de l’impacte de cette image.

 

 

 

 

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Oui, elle est suggestive, mais rien n’est clair, rien n’est explicite, rien n’est vu, juste une idée donnée « soumets toi à Maîtresse Ava ». Cette photo, illustre juste totalement cet énoncé à ce moment là, Moi comme cette larve (alinéa) s’en souviendra.

 

 

 

Car au vu de sa sale tronche de masochiste bouffé par la vie et l’alcool, et surtout au vu de sa dentition tchernobilesque, jamais le moins du monde je n’ai eu envie de sentir sa langue putride sur mes douces lèvres d’entre-jambes. Mais ce jour là, un truc me titillait dans le ventre, une idée vicieuse me démangeait l’antre sacrée.


Sa rare qualité était les massages de Pieds, et pour une fois qu’il faisait quelque chose de correct, je comptais bien en profiter. A son retour du boulot, il me massait donc mes extrémités pédestres pendant une bonne heure (mes soumis savent comme j’aime me faire masser les petons…), puis s’attelait avec difficulté à la corvée de vaisselle que je devais toujours inspecter minutieusement vu son laxisme concernant les tâches ménagères. Ensuite le repas, et enfin pour digérer, quoi de mieux… qu’un bon massage de Pieds ? ;)


Collier bien serré, laisse tenue fermement, je le dirigeais dans son exécution. Mes Pieds et mon Corps se relaxaient si bien que je me laissais aller sur le matelas du lit descendu de la mezzanine pour m’apporter plus de confort, je lui dis alors de me lécher la voûte plantaire. Je sentais son excitation à pouvoir me toucher, me lécher, mais ce n’étais surement pas son appendice inutile qui aurait pu exprimer quoi ce soit. En y repensant bien, je ne l’ai jamais eu avoir « la trique » ce pauvre type. Bref. Je sentais que tout allait se dérouler comme je l’imaginais plutôt dans l’après-midi, dans ce geste mécanique si quotidien aux Femmes, que je n’achevais finalement pas.


Les coups de langues et massages parcourant mes Pieds relaxaient mon corps, tandis que mes idées perverses émoustillaient mon Esprit. Lui aussi était terriblement excité (je le voyais à ses yeux ronds et respiration accélérée, typique chez lui), c’était le moment parfait pour le duper.

 

J’étais en mini jupe « écossaise » rose et noire, et l’idée de remonter le long de mes jambes l’obsédait. En effet il me parlait souvent de face-sitting, mais je ne voulais pas une seconde lui accorder ce plaisir, à moins que ce ne fut pour lui péter à la face ou l’étouffer et lui faire fermer sa gueule entre mes fesses musclées. Mais chaque jour il pouvait découvrir mes fesses joliment enrobées de jupes ou robes. Une torture visuelle pour ce type, qui devenait un plaisir simple et sadique dont j’adorais me délecter.  Mais ce jour là fut encore plus savoureux et délectable, et j’avais prévu de prendre quelques photos pour son bon souvenir.

 

D’un coup, je tirais la laisse et lui ordonna de me sentir l’entre-jambes. Il n’hésita évidemment pas deux secondes et se précipita sur mon boxer noir moulant à dentelles. Je lui dis rapidement d’humer mon odeur doucement et longuement, ce qu’il fit sans tarder. Il reniflait fort, et plus il exécutait ces inspirations, plus son visage se décomposait. Il n’osait rien me dire, mais ses expressions faciales me parlaient largement. Il continuait sous mes ordres, mais s’y adonnait de manière de plus en plus contrariée. Mon petit jeu ne faisait que commencer…

 

Sa vieille gueule recula brusquement dans un shoot de Pied qu’il reçut violemment. Sonné, il me vit retirer mon boxer lentement. Quand je lui ordonnai de me lécher, alors très surpris, il m’adressa un regard plein d’interrogations. Un coup de laisse ne lui laissa pas le temps de se poser plus de questions et il s’approcha de mon sexe. Il commençait doucement, timidement, et plus il lapait, plus sa gueule tirait de sales traits grimaçants. Je m’amusais terriblement de la situation.


« C’est quoi cette sale tronche ?

  - … ça sent bizarre Maîtresse…

  - Je m’en fiche ! Continue de laper et plus profond !! »

 

Il continuait avec peine, et ses traits se crispaient de plus en plus… jusqu’à cette fameuse surprise.

 

« Quoi encore ! 

  - Il y a une ficelle !!!

  Ha oui c’est vrai, j’ai mes règles depuis ce matin ! Mais ça ne change rien à l’affaire.

  - Mais je ne vais pas lécher !

  - Mais bien sûr que si !  lui rétorquai-je avec une bonne baffe en prime. Tu vas lécher, et même chopper ma ficelle et l’emballer comme les rares personnes qui ont du avoir pitié de toi pour t’embrasser. Tu vas rouler une galoche à mon tampax !!! »

 

Je l’empêchais encore de buguer en lui tirant l’oreille gauche pour le ramener devant sa tâche. Il était littéralement dégouté, et moi je commençais à rire machiavéliquement. Quand il reculait la tête, je tirais la laisse et lui infligeait de violents coups. L’odeur était forte et se rependait de plus en plus. Cette odeur typique de viande faisandée que toute Femme connait lorsque son tampon totalement imbibé de sang a macéré toute une journée dans son vagin et ne demande plus qu’une seule chose : à en sortir!


Je l’observais grimacer en enroulant la ficelle rosée autour de sa langue, je m’amusais beaucoup, mais je n’en avais pas encore fini. Un nouveau coup pour le dégager et je me levais pour me mettre debout  sur le carrelage. La laisse le tirait avec mon déplacement et je lui ordonnais de se mettre à genoux pour continuer à emballer mon tampax imbibé de morceaux menstruels. Il s’exécutait toujours, devenant (pour cette merde à la couleur méditerranéenne), de plus en plus livide, de plus en plus blanc ! Je lui dis d’enrouler sa langue de plus en plus serrée autour de ma ficelle. Il avait du mal, mais comprenait enfin le mouvement de langue à faire. Je lui précisais d’aller toujours plus vers le début de la ficelle. Quand enfin je sentis sa langue bien bloquée et ficelée, je lui ordonnai de tirer sa tête vers l’arrière. Le mouvement lancée, je reculai  vivement, et évidement en résultait l’expulsion de mon tampon qui atterrit sur son menton. Maculé au maximum de sang et de morceaux, le « splatch » fut donc spectaculaire et s’en suivit un fou rire magistral qui le couvrit de honte. Je m’en allais ensuite à la salle de bain en lui indiquant de tout nettoyer et se débarrasser de mon tampon, le mâchouiller, s’en faire une tisane s’il voulait, je m’en fichais. Même si à cette époque je ne pratiquais pas encore l’uro, à ce moment là, l’idée de le finir en lui pissant dessus et en lui expulsant les derniers morceaux et fluides bloqués jusqu’à présent par mon tampon, habitait alors fortement mon Esprit. Mais ma journée avait été longue, et je ne désirais plus qu’une seule chose : une longue douche chaude pour me délasser et me nettoyer avant de me renfiler un tampon neuf.

 

 

 

C’est donc la gueule et cou parsemés de sang de règles odorantes que cette pauvre tâche a fini après être passée entre mes cuisses.

 

 

 

 

Sachez bien une chose, certains ont eu la « chance » de pouvoir voir mon entre-jambe magnifique, c’est vrai. Mais ce ne fut toujours que pour mon plaisir, qu’il fut physique ou mentalement sadique. Ce ne fut jamais pour leur plaisir ou leur satisfaction, à moins qu’elle ne fut simplement celle de répondre à mes envies et mes désirs. Car sachez aussi, que ce qui me fait bien plus mouiller, est ce plaisir que j’ai à vous frustrer. En cela, certains ne l’ont jamais vu, d’autres oui. En tout cas, ma « domination » ne se base et n’implique surement pas l’ouverture de mes cuisses, mais sur une grande ouverture d’Esprit, qu’elle soit de part et d’autre. Soumis : ne croyais donc pas que lorsque vous entrerez à mon service, vous atteindrez ce paradis. Dominas : ne pensez donc pas juste à ce que vous voyez, l’échange par le dialogue vous amènera bien plus qu’un apriori que vous vous ferez. Car des aprioris visuels, je pourrais bien en avoir concernant cette petite C. qui montre ses seins et son cul quand elle a une « grooooosse envie de se faire gâter ».

 

 

Pour cette grosse merde d’alinéa, comme lorenza, je me suis tout de même bien amusée avec ces connards ; je leur en ai bien fait baver pour leurs mauvais esprits, et je les ai jeté comme il se devait : comme de vieilles chaussettes puantes, trouées et inutiles qu’on jette à la poubelle avec mépris. Et pour finir, le ridicule de la situation fait que cette C. s’est empressée de vouloir récupérer cette fiotte de lorenza quand je l’ai renié, alors que cette « dom » avait confié à pas mal de monde (sauf à moi évidemment) toutes les misères que cette merde de lorenza avait pu lui faire subir quand il était à demeure avec elle. Et pourtant, elle en voulait encore… Allez savoir pourquoi, entre temps il a encore affiché publiquement qu’il était à telle ou telle domina, qui n’était évidemment pas elle. Alors qu’elle ne se gênait pas pour aller le brancher alors qu’il était sensé être entre mes mains, elle aurait du comprendre qu’un type qui agit comme ça, ne le fait pas qu’avec elle, mais joue sur de multiples tableaux, et ne sera jamais fidèle, car très loin d’être dans sa nature profonde.

 

 

 

Alors conseil : ne voyez pas juste la « jolie minette » sur ces photos, car je suis certes mignonne, mais bien plus sadique et perverse encore !

 

 

 

 

 

 

11 mai

 

Ava Brown Déesse Gynarchiste

 

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Je ne sais pas si ça a été bien efficacé mais merci.

Par contre lorenza m'a fait écho d'un de tes appels, je trouve cela assez inconvenu vu que tu sais très bien que j'ai lorenza sous ma coupe...mais je te laisse juste méditer là dessus.

 

 

 C.


Bonsoir,

Je vais répondre a ton deuxième petit paragraphe..

Primo pour être exact, je lui ai envoyé un SMS, et je l'ai vue en cam : javais envie de m'amuser ( il est a toi ? dans ce cas la c'est a lui de ne pas me répondre et pas a moi de ne pas faire ce que je désire... car oui je fais exactement ce que JE veux), deuxio, effectivement nous nous sommes parlé par SMS, et pour conclure je finirais par : CHANEL a était bien plus qu'un soumis a demeure durant deux ans de ma vie, et sans vouloir t'offenser, si l'envie me prend de lui parler, je le fais et le ferais encore, et fais toi a l'idée qu'il me répondra toujours, ne serait ce en raison des deux années que nous avons passé ensemble, il est donc inutile de monter sur tes grands chevaux et de me répondre sur ce ton, je ne suis pas une de tes petites copines de facebook qui te laissent dire tout et n'importe quoi.

Mtn, puisque tu te permets de parler, je vais faire de même, et te faire part de mes petits problèmes : je serais ravie, de ne plus avoir a faire a TES soumis ( ou anciens ), qui viennent me demander si, moi aussi, j'ouvre mes jambes pour être respecter et faire de la "domination".

C.

 

 

Ava Brown Déesse Gynarchiste

 

Libre à toi de lui parler, là n'est pas le problème et tu le sais très bien (mais libre à toi encore de jouer les autruches ou non...), mais chacun sa conscience, chacun sa pseudo science, crois ce que tu veux je m'en tamponne royalement, si tu crois savoir comment je fonctionne dans la "domination", viens me voir ma poulette je te montrerai en direct, là alors tu pourras l'ouvrir et éventuellement "juger".

A bon entendeur, Salut.

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Samedi 22 septembre 6 22 /09 /Sep 13:57

… Et il croyait m’avoir… Il y en a eu pas mal dans le genre qui se sont révélés être de vils quémandeurs qui croyaient tout pouvoir se payer avec leur misérable fric… Il n’y a pas d’autre terme, pas d‘autre mot. Pas méchant, pas trop stupide mais au fond, tellement con ! Ce vieux cuisinier de métier, grassouillet à souhait, m’avait dans un premier temps ennuyé avec ses envois de mails, textos et candidature qui écorchaient ma vue et toutes les règles qui ont constitué  « le Français ». Pourtant, il démontrait de la volonté malgré ses lacunes qui me donnaient un avant-goût de moqueries linguistiques… Et il n’était pas prétentieux, il avait juste l’air un peu paumé depuis sa dernière Maîtresse attitrée, et ne demandait qu’à servir et obéir. J’avais envie de rire de lui, de ses niaiseries et de ses minables écrits, et avec mes Pieds fatigués, sur un coup de tête je décidai donc de le convoquer.

 

Mais lorsque je l’ai eu entre les doigts, il tenta de me glisser de sa petite voix fluette une absolue aberration. C’est à ce moment-là qu’il se dévoila, poussé dans ses retranchements, que son ego pourri et avide de consommateur se révéla.

 

« Comment ça tu « voudrais » me lécher ?? Et d’autant plus mon intimité ??? Non mais t’as vu ta gueule en plus ! Je crois rêver là !»

 

Alors qu’il me massait mes petons fatigués, ce fut mon esprit qui le devint inévitablement face aux mots que déglutissait ce gros porc. Ses petites mains et doigts boudinés se crispèrent dans un sursaut quand il fut frappé par un coup de cravache sur une bonne partie du haut de son bras gauche. Ses yeux eux aussi s’écarquillèrent en un coup.

 

« Comment ça tu « attendais » quelque chose de « différent » pour cette « séance » ?

Je dirige mes séances selon MES ENVIES. J’ai toujours été bien claire là-dessus. Tu n’as rien à attendre de Moi. Tu es venu pour obéir et me servir, je te mets devant les faits, alors oublie vite tes « envies » car Moi, je m’en contrefiche, tu es là pour assouvir les miennes! »

 

Il était encore tétanisé par mes phrases et mon ton exaspéré mais bien ferme. Ce n’était pas ma cravache qui lui faisait peur… Mais le fait que je lui sois insaisissable et la distance inévitable que je creusais impitoyablement entre lui et Moi. J’en profitais pour lever mes Pieds jusqu’à sa tronche bouffie, et lui infligeai deux magistrales claques sur ses joues habituellement rosées, devenues écarlates. Sa petite boîte crânienne (à moitié dégarnie et dissimulée faiblement par ses quelques cheveux mi-longs, fins et gris qui lui restaient) fut alors secouée de part en part, de Pied en Pied ! Comme foudroyé, il en ouvrit la bouche, resta béat et immobile un moment, jusqu’à ce qu’il en oublie à nouveau mes Règles…

 

« Pourquoi as-tu levé les yeux ?!! »

 

Ma voix claqua dans l’air comme le son de la cravache que j’avais fait claquer sur sa peau à sa première erreur, et il reçut un nouveau coup qui lui fit instantanément baisser son désormais regard de cocker et reprendre sa tâche manuelle. Et pourtant, il essaya de nouveau…

 

« HA ! C’est pour « mon bien » ?? « Uniquement pour mon plaisir » tu me dis ??? Eh bien là en fait, tu me le coupes mon plaisir… J’aurai pu oublier ta disgrâce si tu m’avais bien massée, de manière studieuse et sans un mot ! Sans une sottise de la sorte ! Je suis la seule ici ou ailleurs à savoir ce que je veux, quels sont mes désirs et ce qui pourrait me faire plaisir ! Ni toi ni personne n’en est capable, je suis la seule et unique à les connaître et donc à pouvoir les énoncer ! »

 

Ma main droite avait déposé la cravache sur le canapé et commençait à s’exprimer en appuyant mes paroles avec des gestes vifs. Mais les mouvements rapides de ma main le faisaient surtout se concentrer sur le bout de mes doigts qui arboraient des longs et durs ongles recouverts d’un rouge vermeil. Je repris son attention d'une magnifique gifle délivrée par celle qu’il était en train de tant admirer.

 

« Il me semble avoir été on ne peut plus limpide sur ce qui t’attendait et ce que j’attendais. Je suis une totale gynarchiste qui n’a que faire de tes envies primaires et sexuelles. Tu es venu pour me servir, me divertir ! En aucun cas pour : m’ennuyer avec tes exigence inconvenantes, me lécher le sexe ou te faire branler autant physiquement qu’intellectuellement… Si tant est qu’en fait, il y ait intellect. Tu ne te feras pas mousser par moi, bien au contraire. Je te rappelle que tu es là pour Moi et non l’inverse…»

 

«  Mais… ? Mais… Mais ??? » - Cet abruti insista.

 

« Tu pensais « au moins pouvoir m’honorer avec ta langue ? » Ta langue de clebard répugnante sur ma douce et Divine Féminité ? Quelle infamie dis plutôt! En quel honneur JE te ferais ce privilège ? En plus, tu oses me couper la parole pour me dire cela ?!? (une nouvelle gifle retentit sur sa joue gauche) ET tu quémandes l’accès à mon intimité ? (sur sa joue droite claqua le revers de ma main) Va-y, fais moi rire bouffon, dis moi donc en quel « honneur » tu aurais droit à cela ? Et LÀ tu peux t’exprimer grosse larve ! 

 

        - …eh bien vous savez la vie est rude, et l’offrande que je vous ai fait est un sacrifice pour moi…

 

- Mais c’est le but ! Pour avoir l’occasion de me servir, il faut bien accepter d’en payer le prix : autant physiquement, mentalement que financièrement. Et je fais bien en voyant le genre d’énergumène que tu es. Physiquement je ne peux pas bien m’amuser avec toi, tu es un vieux jouet cassé et repoussant. Mentalement tu te révèles bien plus pitoyable que (forcément) ce que tu voulais me faire croire. Encore heureux qu’il me reste ton fric pour compenser la perte de temps que tu m’occasionnes ! Et moi alors ? Je t’ai bien sacrifié du temps grosse merde !!! C’est presque comme si tu pensais l’avoir mérité… ou encore pire, que ton fric le mérite ! Ni toi ni ton fric ne me méritez ou ne pourrez m’acheter. Tu n’as donc rien compris à l’affaire, ou tout simplement à qui tu t’es adressé !!  Alors je te le répète, tout comme je l’ai écrit et TE l’ai écrit : je dirige toujours mes séances de a à z uniquement selon MES envies ; j’ai toujours été claire là-dessus ne va pas dire le contraire, relis mes mails! Seulement là tu vas encore plus loin, ton envie va vers mon sexe !? Ce Saint Graal ne s’ouvre sûrement pas à coup de billets, je ne suis ni une prestataire, ni une pute ! Non mais je crois vraiment rêver !! »

 

 

Je me redressai d’un coup sur ce fichu canapé dans lequel je commençais à m’enfoncer… Maintenant bien droite, brandissant ma vivacité, ma fraîcheur et ma féminité, je lui énumérais alors ses nombreuses bêtises et commençai à jouer de mon index acéré tout près de son petit nez en trompette, comme prêt à le réduire en charpie en quelques coups de doigts agiles. Il ne disait plus rien, restait stoïque.

 

« En fait, tu m’as pris pour une pute, c’est ça ? » lui redemandais-je en prenant un air stupide mais reprenant très vite un air plus grave. « Il y a donc là un gros quiproquo… Car je vais te repréciser quelque chose: sache que c’est toi la pute de cette histoire. Et stupide comme tu es, tu n’as apparemment que peu compris la situation. Tout comme une bonne prostituée, tu t’occupes de MOI, selon MES directives. Tu ne rechignes pas, tu ne fais pas la fière et tu t’écrases !!! Tu baisses les yeux et la seule fois où tu auras le droit d’ouvrir ta sale gueule, ça sera pour me pomper le dard  sans broncher, goulûment et en douceur ! Tout comme une bonne pute, tu te la fermes et tu réponds à mes envies, et comme j’ai la gentillesse de me pencher sur ton misérable cas et t’apporter la possibilité de me subir et progresser dans ta misérable vie, le fric que tu as tant de mal à lâcher m’aura au moins apporté la satisfaction de te savoir si mal à l’idée de t’en séparer et d’autant plus pour une Déesse qui te méprise désormais totalement pour ce que tu es actuellement. Et s’il le faut encore, je te remettrai les points sur les i, mais si tu m’agaces de trop, c’est comme un moins que rien que je te jetterai, sans sourciller. Des merdes dans ton genre j’en ai à foison et m’en passe aisément. Je t’avais bien dis de mettre ton ego au placard, tu ne l’y as pas laissé avec tes petites exigences, je vais donc bien m’amuser à le froisser, et ainsi le faire payer pour sa stupidité, le faire payer pour le « dérangement »… »

 

Mes longs et fins doigts de la main droite s’étaient alors déployés lentement autour de sa gorge de gros lard, les ongles s’enfonçaient dans son gras. Il commençait à frémir.

 

« …Tout comme une bonne pute, tu vas cracher ton fric à ton supérieur (en l’occurrence Moi) et tu te laisseras baiser, bien passivement, bien docilement, et satisfera l’ascendant naturel que j’ai sur ta minable et insipide personne. Tu me serviras de défouloir si tu ne sais être utile à autre chose. Et surtout, tu porteras alors très bien ce petit nom « d’enculé », car oui tu seras ma pute, mon enculé de service. Et je maltraiterai autant ton cul que cet autre cul-de-poule qui est sensé te faire office de cerveau. »

 

Après lui avoir bien agrippé et compressé la gorge, je le relâchai d’un coup sec et il bascula en arrière. Je tirai sur la laisse afin qu’il se replace, puis se déplace avec mes mouvements de jambes et de bras qui me plaçaient tout en travers du canapé et lui, toujours très près de mes extrémités pédestres. Grâce aux accoudoirs, mes jambes étaient surélevées dans une parfaite position qui se terminait avec mes Pieds piles au niveau d’une tête de larbin pour un léchage de Pieds en règle !

 

« Alors toi qui voulais/espérais me lécher lors de cette séance, et bien je vais te satisfaire mon con, mais maintenant si tu dois ouvrir ta gueule, c’est uniquement pour me lécher mes Pieds ! Tu n’auras accès à rien d’autre !!! Allez va y baltringue montre moi comment tu crois savoir et pouvoir donner du plaisir avec ta ridicule et minuscule langue ! Va-y et applique-toi si tu ne veux pas que je te renvoie! Lèche-moi bien tous mes Pieds et tous mes orteils !!! »

 

Pendant qu’il croyait obtenir une victoire, j’avais mon plan en tête dès l’instant où il quémanda de me lécher. Je lui avais bien dis en plus, que je froisserai son ego avec jubilation et sadisme… 

 

Il me léchait ardemment, et je tenais avec force la laisse afin de toujours bien lui plaquer son visage près de mes Pieds. Il essayait toujours de dériver et descendre plus bas, avec sa sale gueule ou ses vilaines pattes de pervers, mais je le maintenais fermement et ne manquais pas de lui faire comprendre ses erreurs à coup de cravache. Il devenait à force, plus docile et moins fauteur. Je déposais ma cravache…

 

J’essayais de garder mon sérieux mais je rigolais intérieurement depuis déjà un moment. Je savais exactement ce qui allait se passer, et lui évidemment, ne voyait rien venir… C’était tellement gros pour Moi, qu’est-ce que j’en riais ha ha ! Tellement qu’il me demanda s’il me chatouillait! Non, il ne me chatouillait pas, mais je me moquais de lui à n’en plus finir…

 

« J’ai dis : pas un mot ! … »

 

Mes Pieds se relaxaient malgré tout, malgré la laideur de son corps et de son esprit, malgré mon dégoût et mon mépris, malgré tout, je m’émoustillais de la future trempe qu’il allait se manger de ma part en pleine poire…

 

Il mit un moment avant de m’entendre gémir et comprendre que je me touchais. Mais je pense que jamais il n’arrivera à excepter et comprendre aussi que je ne gémissais sûrement pas grâce à ses pathétiques coups de langues, mais parce que je m’excitais et jouissais avant tout de cette situation que j’étais en train de mettre en place. Le summum bien sûr, avec le travail de mes doigts agiles sur mon clitoris !

 

Plus il réalisait que je me touchais, plus il voulait et essayait d'aller de nouveau vers mon Paradis. Mais c’était peine perdue, je le maintenais toujours plus rudement, lui donnant toujours moins de liberté de mouvement, pendant que j’accélérais ceux des doigts de ma main droite. Il gigotait, je tirais la laisse et l’écrasais avec mes Pieds et Jambes… Il gigotait, j’accélérais encore et encore pendant que je le bloquais encore et toujours plus avec mes Pieds ; tout cela jusqu’à ce que je me sente venir, que je lui enfonce alors mon Pied droit dans sa gueule et ce jusqu’à en noyer sa glotte de mes orteils. Les coups de laisse tirant sa gorge et mon Pied qui violait sa voie buccale m’excitaient terriblement! C’est une situation qui m’émoustille toujours particulièrement, et immanquablement, je me fis jouir. Je jubilais et jouissais tour à tour, physiquement, cérébralement… Je le mettais encore et encore face à son impuissance, c‘était si facile, mais il l’avait trop cherché… Ceux qui se sont frottés à moi, on eu l’occasion de goûter à mon piquant. Et quand je dis qu’on ne se fout pas de Moi, ce n’est pas pour rien n’est-ce pas « mierda lorenza » comme les autres ? ;)

 

Maintenant que je m’étais bien marré à l’utiliser et à le mettre à l’écart total de ma jouissance, j’allais toujours plus l’accroître celle-ce en lui imposant de dégager sur le champ.

 

Il devait se sentir objet, utilisé, usé, jeté… Il fut sidéré et déconcerté. Il voulait jouer les frustrés devant Moi ? Et bien là je lui en avais gracieusement donné de la frustration ! Quelle généreuse je suis, oh oui que de frustration ! A foison, et avec passion ! ^^

Il me remercia pour la séance par texto, mais m’expliquait que « ça lui avait fait trop mal de ne pas avoir pu me lécher » et que si je l’accepte à nouveau, il demandait à pouvoir « au moins s’enivrer de mon odeur »… Je lui avais fait mal le  pauvre choupinet… 

 

Après une séance de la sorte, et de telles explications pour finir par lire de telles sottises, je me dis bien que c’est définitif ; c’est purement et bonnement un gros con ! Que je n’ai rien à espérer de lui, car il ne vaut rien, et le mieux qu’il vaille, c’est simplement son fric, qu'il considère de toute façon beaucoup trop et s’y attache comme son dernier et ultime « pouvoir »… Mais comme tu es pauvre mon petit… Et je ne parle pas de l’estimation de ton compte en banque abruti!

 

Jusque-là je m’amusais et continuais à lui répondre niaisement et ironiquement. Toujours aussi stupide, sa crétinerie me faisait piquer des crises de fous-rires délirantes en lisant ses déboires, jusqu’à ce que j’en sois finalement plus que lassée.

 

Comme il est con ce vieux bougre. Et comme il en crève de n’avoir jamais rien eu de Moi… Et comme j’en jubilais à chaque maux exprimés maladivement par cet analpha-bête !

 

Mais comme je l’ai bien dit, je me suis vite lassée de cette imposture de mec, et cette imposture de soumis. Je lui ai enlevé tout espoir de pouvoir un jour me revoir et depuis il m’insulte et me menace (mdr). Réponse typique et prévisible de votre éternelle impuissance… Alors oui je préfère en rire, et je vais continuer à bien m’esclaffer!

 

Son impuissance face à mon intelligence, ma vivacité, ma jeunesse, ma force et ma beauté, l’a blessé au plus profond de son ego froissé et meutri désormais au plus haut point. Ça lui faisait terriblement mal de voire que malgré mon jeune âge, je pouvais aisément me refuser à lui, cracher sur son fric et le mettre face à lui-même, face à son reflet peu ragoûtant, bien loin d’être attractif, à l’opposé du mien… Mais encore pire, qu’il comprenne que j’étais totalement libre de jouir de mes envies et désirs, alors que lui, même avec son fric, ne pourrait jamais être satisfait auprès de moi, et ne recevrait jamais que ce que je décide de lui accorder et rien d’autre. Impuissance totale, frustration maximâle…

 

Comprenez donc que je ris bien lorsque je ressens et lis votre agressivité, qui n’est que le fruit de vos blessures, de vos frustrations et de votre impuissance. Comprenez qu’en plus d’en rire, je m’en délecte subtilement, sadiquement J

 

 

Donc à toi, alexandre le petit gros, alexandre sale « oizo », comme aux autres jaloux/frustrés que la vie ne nous épargne pas mais nous offre généreusement, je te le dis encore très clairement: ton adresse mail sera bloquée, et tes emails exprimant ton infériorité finiront désormais dans la catégorie qui définit très bien autant tes envois que ta personne ou ton physique : INDESIRABLE !

 

 

Adios pobres muchachos !

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Samedi 15 septembre 6 15 /09 /Sep 14:22

Certain(e)s se font un grand plaisir à escroquer et extorquer de faibles penseurs, ce n’est pas mon cas. Qu'il y a-t-il de prodigieux ou d'excitant à enlever sucette de la bouche d’un enfant ? Je me le demande bien… Je comprends l’excitation que cela peu leur provoquer… Mais elle est si faible et si vile ! Les faibles moi, je les remets à leur place, face à leurs incapacités, j'en jouis souvent, mais n’ai aucun intérêt à m’en entourer (à moins qu’ils en prennent conscience, et s'en remettent ainsi à plus grand qu’eux avec conviction pour enfin devenir utile).

 

Je préfère donc nettement une personne possédant une pleine capacité de raisonnement, qui se livrera à moi en totale admiration, respect et confiance mais surtout entière lucidité; sans aucune pression, si ce n'est celle qu'elle se mettra elle-même. Celle de savoir que tout ce qu'elle fera sera décortiqué, inspecté, salué ou réprimandé. Celle de savoir que je serai le seul noble juge et guide, qui l'amènera vers une soumission totale et bénéfique. Celle de savoir que par évidence, j'exige et tire vers le meilleur, et que si elle ne représente et ne me présente pas le meilleur, je pourrai facilement la congédier voir la répudier.

 

Mais dans une société où la soit-disant force est aux requins, je resterai à jamais près d'une Domination "digne" et créative, telle que je l'admire et respecte, telle que je la prône et désire la transmettre.

 

Donc les menaces, ce n'est pas du tout mon trip ! Je m'amuse aisément à leur dire que je pourrai me servir des données de mes esclaves ou aspirants esclaves, c'est une des vérités de mes pouvoirs. Mais ne voyant aucune grandeur dans ces actes, je ne vois alors aucun intérêt à utiliser ce genre de procédés. Je ne menace pas, je préfère agir ou faire réagir… 

 

Forcer un être à faire ne m'évoque aucun ressenti positif. En fait si, mais uniquement lorsque mon esprit sadique vient à jubiler en voyant les yeux écarquillés, suppliants, larmoyants et terrifiés d’une larve incapable que j’aurai alors terrassé en dépassant utilement et volontairement ses limites. Sinon ? J'attend qu'il écoute simplement ma voix, et la suive. Qu'il comprenne par lui -même que la voie que je lui propose est salutaire et qu'il s'y plie corps et âme volontairement, là ça devient bien plus fort, puissant et tellement bon!

 

L'unique menace que chaque potentiel esclave doit garder en tête, est celle de se faire éjecter et de ne pas ou ne plus avoir la chance de me vénérer et de me servir. Et je n'ai pas trop à le préciser, car j'estime que cela est naturellement une base induite à chaque relation D/s que j’entreprends. Alors au final, ce n'est même pas une "menace" mais plutôt une évidence. Celles et ceux qui ne seraient pas dignes de l'éducation que je propose à ma botte, ne pourront que s'en mordre les doigts et retourner vers ce qui leur convient : le médiocre.

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Dimanche 9 septembre 7 09 /09 /Sep 13:02

GAV.jpg

 

 

 

Jupe noire recouverte de dentelle, un ras de cou de velours, j’ai déjà enlevé mon soutien gorge. Les frottements de la soie, additionnés à l’air frais revenu sous les toits bruxellois, font de mes tétons deux groseilles qui se dressent au fur et à mesure de mes mouvements et des courants d’airs. Mes petits seins s'agitent et durcissent... Je pointe littéralement !

 

Cela t’excite peut-être ? Toi qui voulait en voir un peu plus de moi, tu me découvres ici débraillée, presque offerte pourrais-tu même penser… mais surement pas à toi, tu en as bien conscience je l’espère… Pour qui crois-tu que je me déshabille ? Qui est derrière l’appareil ? Tu ne le vois pas, mais je lui tire ma longue langue sur cette photo. Un appel au baiser, à la salive et aux susurres, à la passion et la démesure…

 

Que les choses soient donc bien claires, mon cœur est pris et mon corps est épris de Lui. Ne tente donc aucune approche de séduction, amoureuse ou de prise à demeure, tu ne pourrais que te faire rembarrer. Et encore moins, ne cherche pas à partager mon lit, je ne dors qu’avec Lui. Te rappelant ta place et ta classe, ton unique emplacement dans une chambre et auprès de ma personne, ne pourrait être qu’au sol enchainé ou au pied du lit que je partage avec Lui.

 

Ton unique possibilité pour m’approcher autrement et savourer des moments à mes côtés, est donc de postuler comme chien, pour un dressage à mes Pieds. Car tu le sais bien, tu n’es qu’un chien qui bave plus qu’il n’agit, qui se branle plus qu'il ne réfléchit. Mais entre mes mains, pas de répit, je ne veux que progrès et mes envies assouvies, tant et si bien que tu en sois capable et que tu m'en inspires l'envie!

 

À bon entendeur, salut! 

 

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